Publié dans Sport

Jeux paralympiques 2024 - Madagascar restera spectateur

Publié le lundi, 26 août 2024

J -1 du lancement des Jeux paralympiques de Paris 2024. La cérémonie d'ouverture du mercredi 28 août donnera le coup d’envoi de la compétition. 
Madagascar ne participera malheureusement pas aux Jeux paralympiques de Paris 2024 qui se dérouleront du 28 août au 8 septembre, et restera spectateur derrière le petit écran. C'est une déception immense pour Aurélie Faravavy et son guide Ny Aina Randrianarisoa qui se sont préparés intensivement pour ces Jeux. Peine perdu pour la meilleure athlète de l’épreuve reine de la discipline athlétisme paralympique. Elle qui a déjà participé à la dernière édition à Tokyo 2021.

Une déception immense pour la sprinteuse, qui s'entraîne sans relâche depuis un an, et pour tous les supporters malagasy. Pourtant, les Jeux paralympiques de Paris 2024 auront le plus de record sur ne nombre d’athlètes pour une seule édition. Un record qui sera loin d’être battu lors de cette édition.
Alors que 4 400 athlètes de 182 pays s’apprêtent à briller, Madagascar restera spectateur. Cette absence met en lumière les défis encore à surmonter pour que nos athlètes puissent représenter fièrement notre pays sur la scène internationale.
Cette absence marque un coup dur pour Madagascar qui n'aura donc aucun représentant aux Jeux paralympiques de Paris 2024. 
L'athlète malagasy malvoyante, Aurélie Faravavy, qui devait représenter le pays dans l'épreuve du 100 m, n'a pas pu obtenir une wild-card en raison de l'absence de participation aux tournois de qualification nécessaires, notamment le Meeting de Marrakech et les championnats du Monde de Kobe. En raison du manque de budget, elle n'a pas pu se rendre à ces compétitions, ce qui a empêché l'International Paralympic Committee (IPC) de valider son handicap et d'accorder une wild-card. Faravavy espérait surpasser la meilleure performance historique de Madagascar aux Jeux paralympiques, réalisée par Revelinot Raherinandrasana à Rio en 2016.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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